Me revoici avec mes différentes parties (hors intro et chapeaux et transitions) mais je vous avoue ramer sur ma denière sous-partie 
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I – les droits de l’H : Une hiérarchie omniprésente
A. Une catégorie de droits sacrés et supranationaux
Selon Ludovic Hennebel, la doctrine propose plusieurs classifications des droits fondamentaux et des droits de l’Homme. Il est notamment possible de remarquer que les droits de l’Homme ne sont pas tous considérés comme appartenant aux « droits fondamentaux ». Pourtant, cette désignation procure, aux droits catégorisés dedans, une aura sacrée. C’est donc un marqueur sur une possible hiérarchie des droits de l’Homme car ceux étant reconnus comme fondamentaux, sont en haut de la hiérarchie. Il propose 3 critères de classification des droit fondamentaux et des droits de l’H : un critère sociétal, générationnel et d’opposabilité (vu précédemment). Le premier est spécifique aux relations entre Etat et individu. Tandis que le second, comportant trois générations, apporte une nuance. En effet, La troisième génération : « transcende l’Etat », grâce à la fraternité des Hommes et la solidarité de tous. C’est aussi un marqueur de hiérarchie puisqu’une catégorie de droits de l’H. supranationale a forcément une portée plus importante et est donc supérieure aux droits de l’H nationaux.
B. Les droits de l’égalité : Un critère controversé
En effet, la deuxième génération, présentée ci-dessus, consacre les droits de l’égalité. Or, cette égalité semble parfois absente car même si les hommes et les femmes ont les mêmes droits, la hiérarchisation s’effectue tout de même dans les milieux professionnels, par exemple sur les salaires qui sont supérieurs chez les h. ou aussi sur le fait que plus d’hommes soient cadres, et cela, quand bien même hommes et femmes ont à l’origine les mêmes droits et accès à la même éducation, du moins en France. Par ailleurs, la discrimination de genre se fait aussi dans certains pays, notamment musulmans, où les droits des femmes sont presque inexistants (droit de vote, de conduire, etc). A noter aussi, que le traitement des riches et des pauvres diffère. Généralement, les personnes fortunées voient leurs droits davantage protégés car elles ont les ressources financières nécessaires pour pouvoir se faire entendre. Pour en revenir à l’éducation égalitaire, la fortune joue un rôle également important en la matière. Il est récurrent de voir que la jeunesse de « banlieue » ou des pays pauvres voient leur accès à l’éducation restreint.
II – Des juridictions propres mais une existence contestable
A. La valeur juridique des droits de l’H : Elément majeur à leur reconnaissance
Ensuite, Ludovic Hennebel termine son analyse avec le critère de l’opposabilité. En effet, il indique que les droits de l’H. posent la question du classement des régimes juridiques. Il évoque le fait que certains auteurs aient classé le régime juridique des droits et libertés de l’H., selon qu’ils soient : « absolus, conditionnels, virtuels, ou de solidarité ». Ces regroupements indiquent qu’au niveau juridique, les droits de l’H ne bénéficient pas tous du même degré de protection. Le chercheur précise cette analyse en indiquant qu’il existe un « noyau dur de droits de l’H », et que celui-ci comporte 4 droits ; soit : « le droit à la vie, l’interdiction de la torture, l’interdiction de l’esclavage et de la servitude, et la non-rétroactivité de la loi pénale ». Ces 4 droits intangibles sont tous consacrés dans la Convention Européenne, la Convention américaine des droits de l’Homme, et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Il est ainsi possible de remarquer la grandeur de ces 4 droits car ils ont une valeur juridique, en étant dans des traités et ne sont pas seulement déclaratifs.
B. L’existence des droits de l’H : La clé d’une hiérarchie envisageable
Ces droits de l’H, étant consacrés dans des traités internationaux, ont donc une existence et une valeur juridique qui est, en théorie, certifiées. Toutefois, dans la pratique, les droits de l’H. ne sont pas toujours très respectés dans certains pays, en particulier ceux qui sont instables politiquement et économiquement parlant. Donc, avant même de parler de hiérarchisation, il faudrait être sûr de leur mise en valeur et de leur application. Dans ce cadre-là, la possible hiérarchisation ne peut s’effectuer que lorsque les droits de l’H. sont reconnus, sans être bafoués. Cela semble essentiel car il n’y aurait aucune utilité à les hiérarchiser s’ils sont, ne serait-ce que dans leur existence, passés sous silence.
, et en tous cas merci beaucoup pour tes conseil 
). 
