Toute insulte ou demande de vote sera sanctionnée (bannissement définitif).
Coucou Doune ( L ) Je t'oublie pas ; Tu me manques beaucoup , Bonne Année a toi :)
J'étais au self en train de manger avec Johan et ses potes. Mais aucune trace d'Orianne ! Je me demandais ou elle pouvait bien être... Jusqu'à ce que je reçoive justement un message de celle-ci. Je l'ouvris en ne m'attendant surtout pas à son contenut. C'est ce qui gachât ma journée ! Il y étais marquée que Camille allait essayé de draguer Johan et qu'elle était de mèche avec Sabrina ! Oh les gârces ( pardonner mon language), elles verront bien qui sont les plus fortes ! Bon c'est vrai que j'étais pas experte en la matière contre les populaires et les ****es ( pardonner encore mon language ) mais Orianne, elle, avait toujours réussit à leur fermer
Elle espèrait ainsi l'oublier. Je ne savais pas vraiment si elle était sincère ou non mais je trouvais que c'était déjà bien de prendre l'initaitive de nous éviter, surtout Johan. Puis Orianne me dit qu'il fallait qu'elle parte voir quelqu'un, qu'elle était déjà en retard. Camille, elle, partit de son côté et, me retrouvant seule je décidait de partir -enfin !- en cours. Sur le chemin je pue aperçevoire que Camille se trouvait en compagnie d'une nouvelle bande. Elle n'avait pas perdue de temps celle-là ! Mais je trouvais ça plutôt bien car ce serait plus facile pour elle d'oublier mon mec. Mais quelle ne fut pas ma surprise de voir qu'une des filles &eacut
Je pue remarquer que Orianne était furieuse. Elle jetait un regard noir à Camille. Je voulus aller voire Orianne pour lui demander ce qui se passait mais je le découvrit. La nouvelle n'arrêtait pas de relooker Johan. Je n'en croyais pas mes yeux ! Orianne avait raison depuis le début. Je m'en allait donc embrasser Johan en lui disant que j'avais quelque chose de très urgent à régler, je fis signe à Orianne de me suivre et nous primes chacune par un bras Camille. La pauvre ne savait pas ce qui lui arrivait ! Je lui demandais pourquoi elle n'arrêtais pas de regarder mon petit ami pendant l a récré. Elle ne me répondis pas. Je voyais qu'elle devenait toute rouge et qu'elle transpirait &a
Elle s'excusa timidemant en me disant qu'elle ne l'avait pas vue -il y avait écris en gros Conseiller Principal d'Orientation !- et me salua rapidement avant de partir. Le conseiller -qui avait du me voir dans l'entrebaillement de la porte- m'interpella aussitôt. Il me m'informa que j'étais en charge de faire visiter le lycée à la nouvelle. Cette fille mystérieuse était donc une nouvelle ! J'appris par la suite qu'elle était dans la même classe que moi. Le CPE nous fit un billet de retard et nous nous dirigeâmes en cours. Pendant tout le long du trajet, nous fîmes connaissances. C'était une très sympathique fille mais très réserver. J'étais impatiente de la présen
Orianne m'avait envoyée un message me disant qu'elle rompait avec Mathieu. Cela m'avait terriblement choqué. Je pensais que Quentin allait surement en profiter. Le lendemain, en allant à l'école je pue m'aperçevoir que maintenant toute l'école était au courant pour Mathieu et Orianne. J'étais un peu triste pour eux car ils formaient un très beau couple mais j'avais pue m'aperçevoir que depuis quelques temps, rien allait entre eux. C'était donc mieux ainsi ! Ayant un mot d'abcense à signer datant de très longtemps, je me dirigait vers le CPE. C'est alors que je vis une fille assez mignone qui avait l'air de chercher quelque chose ou quelqu'un. Je lui demandais donc si ella avait besoin d'
Je lui conseillais de dire clairement à Quentin que ce n'étais pas lui qu'elle aimait mais Mathieu. Elle devrait l'avertir de ne pas la draguer ouvertement devant son petit ami ! A mathieu elle devait dire que il devait avoir confiance en elle. Si ce n'étais pas le cas, alors c'est qu'il ne l'aimait pas vraiment et que donc dans ce cas la elle n'avait d'autre choix que rompre ! Je lui dit aussi que ça aurait très bien pus m'arriver à moi, mais Mathieu et Quentin étaient tombés sous SON charme par rapport à son caractère, son apparence... Et puis je lui dit aussi que Johan me suffisait emplement malgré nos dis****s et nos acrochages !
Le soir, Orianne m'appela pour me raconter ce qu'il c'était passer avec Quentin. Il faut avouer qu'il n'avait pas été très malin de lui offrir les chocolats en présence de Mathieu ! Mais c'était aussi vrai que Mathieu était quelqu'un de très jaloux. Un jour, il avait fallit taper un nouveau car celui-ci avait remercié Orianne de l'avoir aidé à ramasser ses cahiers ! Elle me raconta ses craintes envers Quentin.
Je la rassurais que Quentin n'était pas quelqu'un de facilement vexable et qu'il ne serait sûrem
Et c'est alors qu'il sortit un bouquet de fleurs qu'il me tendis en me présentant ces excuses. J'étais énormément toucher. Comment avais-je pue ainsi douter de lui ? Il me montris aussi ce qu'il contait offrir à Quentin et Mathieu puis la boite de chocolat -en forme de coeur- déstinée à Orianne. Mais il me dit qu'il avait un peu peur d'affronter encore une foi Orianne. Je lui répondit que c'était normal, comme quand il m'avais offert le bouquet de fleurs même si les sentiments n'y étaient pas les mêmes. Je l'informa que Orianne aimait Mathieu et que si il souhaitai avoir une relation avec elle, s'était presque perdue d'avance mais qu'il fallait qui lui avoue ces sentiments pour qu'elle sache. Il me remercia des conseils et s'en alla pour retrouvé Orianne.
Je lui répondit que c'était dommage qu'il soit encore jaloux mais que c'étais normal, vue quil avait surement encore des sentiments pour elle, et qu'elle devait clairement lui dire que c'étais Mathieu qu'elle aimait et pas lui ! Puis j'apperçue Quentin dans les couloirs et je partit discuter avec lui. Nous discutâmes de tout et de rien et nous rigolâmes beaucoup. Puis -prenant subitement un air sérieux- je le prévenait qu'il n'avait pas intêret à nous faire du mal -surtout à Orianne-. Je rajoutais aussi que après tout ce qu'il nous avait fait, il devrait recoller touts les morceaux. Et enfin que c'étais intolérable qu'il nous avait pas présenter ces excuses. Je le vis baisser la tête, puis il m'informa qu'il avait bien essayer mais qu'il n'avait pas trou
J'étais tellement contente qu'elle soit devenue amie avec Quentin ! J'étais au milieu de la foule qui les applaudissait. Il faut dire qu'ils étaient tellement populaires que tout le monde approbaient leur amitié naissante. Je souhaitait moi aussi pouvoir discuter avec lui « comme au bon vieux temps » mais pour l'instant, je voulais la laisser pendant son moment de bonheur. Puis je me mit soudainement à penser que l'on avait vite fait reconfiance à ce garçon qui nous a tant fait souffrir ! Nous ne pouvions lui faire à nouveau confiance aussi vite et puis, il nous avait même pas présenter ces excuses ! Je sentais que le sujet de discussion que je so
Puis elle se mit à nous raconter son enfance. Elle aimait particulièrement le moment où elle était venue dans la classe de Quentin en primaire. Elle s'était beaucoup amusée... Et c'est là que je me rappelais où je l'avais vue. C'était Anna ! Comment avais je pu oublier ? Quentin l'avais ramener un jour avec lui à l'école toute une journée et nous nous étions vraiment amusés. Touts les garçon bavaient devant elle et toutes les filles voulaient devenir amies avec elle. Et lorsque les garçon s'étaient mis à insulter Quentin comme touts les jours, elle avait pris sa défense et comme qui dirait leur avait fermé le clapet. Et c'est alors que je lui racontais que cette journée faisait à moi aussi partit d'une de mes préférés. E
Je la rassurais que non, ce n'étais pas de sa faute. Comment aurait elle pue savoir qu'un garçon avec un tel comportement pouvait être quelqu'un de si désespérer ? Je lui dit aussi que c'était une bonne chose qu'elle aie lui présenter ces excuses mais que lui aussi avait beaucoup à s'excuser ! J'espérais qu'un jour, lui aussi et la fille de l'hôpital puissent être ami avec nous. D'ailleurs en parlant d'elle, je continuais à croire que je l'avais déjà vue quelque part. Un médecin me tira de mes pensées en nous prévenant que la fille était sortit d'affaire. Nous partîmes tous la voire et nous nous excusâmes tous. Elle nous fit son plus grand sourire et nous dit qu'elle était très heureuses que nous étions tous ensemble sans pourtant nous dis
Je m'apprêtais à le lui dire quand j'entendis du bruit vers la porte. C'était Quentin ! Son teint de peau vira au rouge et il fonça droit sur nous. On put entendre la fille malade crié: « Non ! » puis s'évanouir. Cela suffit puisque Quentin s'arrêta net et partit voir son amie. Les médecins arrivèrent quelques minutes plus tard et nous partîmes attendre devant sa chambre. Personne ne parlait. Même Quentin ne faisait étrangement aucun bruit. Je le regardais attentivement. Il était tellement anxieux et tellement seul ! Comme en primaire... Remarquant que je le regardais, il posa son regard sur moi et je tournais furtivement ma tête. Maintenant c'était Orianne qui était dans mon champs de vision et voyant à quel point elle était pâle, je m'approcha d'elle et
Je m'attendais que la jeune fille riposterait et appellerait une infirmière mais elle ne le fit pas. Au contraire, elle se mit à pleurer et s'excusa en disant que tout était de sa faute. Nous fûmes très surpris par ce que nous venions d'entendre. Et c'est alors qu'elle se mit à nous raconter le commencement de toute cette si triste histoire. Elle était l'amie d'enfance de Quentin et plus précisément sa meilleure amie. Elle nous raconta qu'ils avaient beaucoup de rêve en commun, qu'elle l'écoutait quand il parlait des moqueries qu'on lui faisait... Puis un jour, une voiture la renversa violemment et elle perdit la mémoire. Les médecins étaient persuader qu'elle ne la retrouverait jamais, mais malgré ça il continuait jour après jour de lui rendre visite. Il a commencer à
La jeune fille paraissait surprise de nous voir. Elle nous demanda d'une voix très faible qui nous étions. On lui répondis que nous étions des amies à Quentin. Elle me faisait penser à quelqu'un -mise à part Orianne-, j'étais sure de l'avoir déjà vue. Elle nous dévisagea de la tête au pied un par un, et quand vint le tour d'Orianne, elle fit une grimace et poussa un léger cris. Elle devait être très surprise de voir qu'une personne dont elle n'avait aucun lien de famille pouvait autant lui ressembler. Elle me fit signe de lui passer le verre d'eau posé sur une petite table et après avoir bue d'une seule traite tout son contenu, elle nous expliqua que ce n'étais pas l'habitude de Quentin de parler d'elle à ses amis et donc que nous étions ou de très
Cinq minutes plus tard, ils arrivèrent enfin et il fallut attendre encore cinq autres minutes pour qu'il se décide à laisser sa bande et partir où il devait aller. Nous pûmes enfin nous mettre à le suivre. On avait choisit la voiture de Johan pour rester discret – et oui, les motos faisait trop de bruit !- Pendant le trajet, nous essayâmes de laisser au moins un véhicule entre le notre et celui de Quentin. Une quinzaine de minute plus tard il s'arrêta enfin devant un bâtiment. C'était un hôpital ! Au début, on décida de rester dans la voiture pour ne pas se faire remarquer puis, l'objet de la venue de Quentin dans cet hôpital tellement tentant, on sortit de la voiture et on se dirigea vers le bâtiment.