Toute insulte ou demande de vote sera sanctionnée (bannissement définitif).
Aaah merci ! La même chose pour moi, jamais déçues de tes tenues ^^
- 14/12/2011 15:27
Je dois te laisser. Docteur oblige. Le rocher revient. Il va se faire soigner la tête qui fait mal.
Mais le rocher s'effrite sous les pleurs et la pluie.
Et le rocher n'est plus entier. Il souffre et n'ose pas aller de l'avant. Et endure les brimades chaque jour. En pensant à celui accroché à lui. Et pourtant, qu'il se taise ou qu'il parle, il le sent se détacher.
Alors le rocher voudrait pleurer. Mais il ne peut pas. Se tait juste.
Le rocher avance, maintenant. Et fera tout. Il fera tout. Pour que tu reste.
Tu as d'autres attaches qui t'aideront bien mieux que moi, tu le sais. A quoi bon s'attacher ou tenter de te retenir quand j'ai l'impression que tu ne fais que t'évader entre mes mots ? Si je me détache et que j'ai mal, c'est que je te l'ai déjà expliqué plusieurs fois. Je suis simplement jalouse. Ca a causé notre perte. Le rocher fait ce qu'il peut. Mais le rocher n'est qu'un rocher. Et souffre de te voir osciller.
Je suis déchirée depuis les cinq mois, et alors ?
Je m'en rends compte à présent. Depuis ce temps-là, j'ai évolué. Je me rends compte. Je ne veux plus ça. Te mentir, vous mentir. Je ne veux ni ça ni rien d'autre.
Je n'ai plus rien à dire. Libre à toi de répondre ou pas.
Pour la dernière fois. Jamais je n'ai eu réelement mal avant un certain seuil. La douleur d'être seule a été présente durant dix ans de ma vie. Tu es arrivée et elle a refluée, pour ne revenir qu'il y a plusieurs mois.
Je ne t'en ai pas parlé. Car cela c'était comme se réinstaller dans une routine familière, que j'aurais délaissée durant un ou deux ans. Les cris, les insomnies, les cauchemars et les blessures de la nuit, les larmes et le silence du jour. Mais cette fois, ils se sont simplement amplifiés. Jamais je n'ai tenu à te faire de mal, et si j'avais su, si seulement j'avais pu le savoir, je t'en aurais fait part. C'était le passé.Uniquement le passé. Maintenant c'est derrière, et je me hais de t'avoir fait aussi mal.
Ne fais pas ça. Je t'en supplie. L'envie est un grand pas dans la réalisation.
Le propre des humains. Désolé mais je n'y crois plus. Ou alors ne le suis-je plus réelement. Je n'arrive plus à me voiler.
Je ne peux savoir. Au fond il n'y a jamais eu de réponse. Juste des fausses questions sans réelle interrogation qui pouvaient passer pour.
- 14/12/2011 13:58
Penser quoi ?
Penser quoi ?
Penser quoi ?
( ... Moi j'ai pensé à Romain Duris quand t'as dit Tartuffe, mais passons. )
Pourquoi tu n'm'écris plus
Pourquoi je suis un peu perdu(e) ?
Je suis parfois tenté(e) moi aussi
D'abandonner
L'inachevé ...
Mais si je continue le soir
C'est pour te revoir ...